Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

ville de vanves - Page 195

  • LA MAIRIE DE VANVES CHERCHE A APAISER ET REDUIRE LA CIRCULATION EN REQUALIFIANT LA RUE MARCHERON

    Jamais une réunion publique de quartier n’avait été aussi courte, jusqu ‘à présent, même sous son nouveau format, animée par le maire adjoint en charge du quartier. Ce fut le cas lundi soir pour les Hauts de Vanves à l’école Marneroux, Julie Messier maire adjointe chargée de ce quartier reconnaissant, que la pluie, comme à l’automne dernier, a dissuadé beaucoup d’habitants de venir échanger avec l’équipe municipale. Le préau dec l’école n’était pas vraiment rempli. Pourtant les projets  et les sujets ne manquent pas dans ce quartier entre les projets immobiliers du Clos Montholon prés de la gare du Grand Paris Express avec la question des commerces, l’école du Parc avec les travaux de curage et d’amiante qui ont commencé…

    Mais aucune questions n’a été posée sauf sur les deux projets présenté ce soir là, un projet immobilier à l’angle des Fréres Chapelle/Aristide Briand, et surtout  la requalification de la rue Raymond Marcheron qui  fera l’objet d’une concertation sur la toute nouvelle plateforme mis en place par la ville, comme ce sera le cas sur la requalification du square Marceau, présenté lors de la réunion publique du Plateau de Vanves, la semaine dernière.

    Ce projet qui n’est pas définitif, concerne une ancienne route départementale devenue communale, extrêmement fréquenté par une circulation de transit, avec la ligne du bus 59 selon les explications de Kevin Coster maire adjoint. «Il s’agit de sécuriser la circulation piétonne, apaiser la circulation automobile. Plusieurs hypothéses ont été étudiées qui n’ont pas été concluantes : la mise en  sens unique : Elle aurait demandé de dévier  la ligne 59 dans un sens, mais aucun itinéraire de substitution ne convenait (rues Fratacci et de la République, rue Aristide Briand…). L’autre solution était la mise en sens unique pour les véhicules individuels, en conservant le double sens pour les bus et les vélos. Les simulations des reports de trafic réalisées par GPSO ont montré qu’une mise en sens unique entraînerait des reports trop importants sur la rue de la République et sur des voies résidentielles. L’ensemble du plan de circulation devrait alors être revu, sans que cela ne permette de gagner en surface piétonnisée ou végétalisée car les deux voies de circulation devraient être conservées On a choisit une circulation à double sens avec des aménagements» a-t-il indiqué en entrant dans le détail à l’aide du power point : création de 9  chicanes végétalisées, avec  le  réaménagement du quare Jean Monnet,  notamment pour créer une continuité piétonne, permettant de créer ainsi 570 m2 d’espaces végétalisés , avec notamment la création de 2 terre-pleins végétalisés, au niveau de l’entrée de rue côté Carrefour de l’Insurrection et de la rue René Coche, la plantation de  13 arbres de hautes tiges, 10 arbustres ; réalisation de 5 plateaux surélevés aux intersections pour diminuer la vitesse et sécuriser les passages piétons ;  élargissement des trottoirs à certains endroits, réduction de places de stationnement de 37 à 20 pour permettre l’élargissement des trottoirs et un maximum de végétalisation, avec 5 à 17 placesde stationnement vélo/deux-roues motorisés ; 3 aires de livraisons, 2 emplacements PMR,

    Mais pas de piste cyclable en tant que telle, même un renforcement de la signalétique est prévu sur cette voie mais aussi la rue parraléle, Aristide Briand dont l’objectif de la municipalité, est d’en faire une « rue vélo » selon Kévin Coster en réponse à une question d’un participant.  Il a été amené à préiser que l’objectif des chicanes est de réduire la vitesse, protéger les piétons, mais aussi de réduire la circulation de transit pour inciter les automibilistes à trouver un autre chemin. «Mais vous risquez de créer des circuits malins » s’est inquiété une participante et donnant l’exemple de la rue A.Briand où certains empruntent le sens interdit pour rejoindre la rue René Coche, où beaucoup accélèrent.

    Enfin, il a été précisé que les travaux ne commenceront qu’en 2024, après ceux prévu pour remplacer une canalisation  souterraine.. En raison de l’augmentation du coût des matières premières, que les entreprises répercutent sur leurs tarifs, le budget prévisionnel du projet est estimé à 2,08M€ avec une aide du département de 1,57M€ pour assurer la requalification de la rue

  • REQUALIFICATION DU SQUARE MARCEAU-CHARLES DE GAULLE A VANVES 35 ANS APRES SA CREATION

    A l’occasion de la réunion publique du Plateau, jeudi dernier, la municipalité a présenté le  projet de requalification du square Marceau avec quelques esquissses projetés sur les écrans installés dans le préau de l’école Marceau. «On souhaite un espace pluri fonctionnel » a déclaré Pascal Vertanessian, maire adjoint à l’urbanisme en précisant « qu’on n’en est qu’à l’avant projet ». Le square actuel avait été dessiné et conçu en 1989  par un architecte vanvéen, Jacques Lesuisse, ancien éléve de Michelet, dont le pére a été un élu de Vanves . Le terrain sur lequel il avait été aménagé, avait été acquis par la ville en Février 1984 et comprenait alors un pavillon, un appentis et deux hangars. La municipalité de l’époque conduite par Gérard Orillard, souhaitait prolonger un square créé à la sortie du passage du métro ec l’autre côté de la rue Jean Bleuzen  et créer un espace vert et apaisant entre les deux groupes scolaires. Il a pris le nom de Charles de Gaulle pour le 20e anniversaire de sa disparition  et 100e anniversaire de sa disparition

    Le représentant d’un bureau d’étude a présenté le diagnostic effectué sur cet espace de 3000 m2 qui crée un fractionnement des espaces, créant des îlots et des sols de différents niveaux avec ce kiosque en contrebas.  «On souhaite retrouver une continuité des sols, une grande visibilité de la place grâce à un travail de nivellement du terrain,  compléter les plantations existantes en créant une véritable forêt urbaine de 50 arbres de différents tailles, assurer des lieux d’échanges et ludiques, avec une aire de jeux, plus visible un jardin pédagogique, un cheminement reliant la rue J.Bleuzen et l’entrée de l’école Marceau, la préservation de l’entrée de l’école primaire Gambetta  réaménagé grâce à un cheminement s’étirant vers  la place en le rendant  plus accessible aux PMR,   une fontaine avec des jets d‘eau » a-t-il descrit en précisant que le chantier qui devrait durer 4 à mois  sera réalisé entre Juillet et la fin de l’année

    Beaucoup de questions ont été posées par les participants sur la nature des sols – en stabilisé et stabilisé renforcé – en dehors des pelouses – pas accessibles aux enfants qui disposront de l’aire de jeux  - sur l’accessibilité du parking et de l’entrée de l’immeuble le long de ce square Marceau, sur la présence de bancs – « On n’en est pas encore à ce niveau de précision » a-t-il indiqué en précisant que ce square ne sera pas fermée pour rester accessible aux écoles. D’autres questions ont été posées sur l’accés et le stationnement vélo, l’évacuation des eaux pluviales, la présence d’une sanisette – «car la descente du parking sert d’urinoir» selon une habitante -

    Le maire qui s’est étonné que personne ne pose la question sur de possibles attroupements nuisibles au voisinage, a indiqué que la municipalité envisage de faire comme pour le square du carrefour de l’insurrection avec des grilles et quelques accés, ainsi que des bancs grâce à un systéme permettant de les enlever et de les remettre en place

  • A DEFAUT DE VANVES, FANETTE RECOURS, COMEDIENNE VA A MALAKOFF POUR PRESENTER SA PREMIERE PIECE EN TANT QU’AUTEUR

    A défaut de Vanves, puisqu’elle n'a pas, pour l'instant, trouvé de lieu pour présenter son spectacle, une vanvéenne, Fanette Recours, présente dimanche à 18H  à Malakoff (Maison dequartier Henri Barbusse, 4 Bd Louise Michel) ), une pièce qu’elle a écrite « Ah t'es là » qui parle d'une relation mère-fille problématique

    «J’avais déjà jeté quelques bribes sur le papier autour de cette thématique lorsque j’ai ensuite vu les films Julieta de Pedro Almodovar et Les Cowboys de Thomas Bidegain, deux magnifiques films autour de parents abandonnés par leurs enfants. Néanmoins, dans ces deux films, la raison du départ de l’enfant finit par être révélée. Je voulais de mon côté me concentrer sur des « projections » de raisons, des suppositions, des hypothèses » explique cette vanvéenne. « Avec une mère et une fille empreintes de culpabilité, qui ne parviendront jamais à connaître ou à énoncer une cause précise. Avec cette idée qu’un enfant peut aussi décider de partir sans raison, sans avoir vécu de drame particulier, sans avoir été influencé ou embrigadé. Plutôt qu’un fil directeur net, il fallait des projections furtives, comme des rêves éveillés auxquels l’esprit se laisse vagabonder parfois. Entrecoupés par des instants de vie d’une femme en proie à la solitude, cherchant à s’épanouir malgré tout, à recréer du contact tout en gérant la folie de ses divagations » explique-t-elle. « L’absence de ponctuation dans le texte renforce ce côté imaginaire, ces folies de la pensée, et laisse davantage de place à la mise en scène et aux comédiens pour y mettre leur propre souffle, leur propre rythme. L’utilisation des majuscules permet de marquer des attaques dans le dialogue. J’ai voulu aller au-delà de la simple thématique familiale pour jouer avec le spectateur, le rendre actif, le perdre, le questionner puis l’embarquer dans l’histoire, comme dans certains court-métrages ou nouvelles qui aiment à surprendre leur public» ajoute cette comédienne formée aux différents ateliers théâtre du primaire, collège, lycée, grandes écoles, puis au centre d’animation Daviel (Paris). Fanette Recours a rejoint en 2013 la « Troupe Ouïe-Dire and Co », qui est lsous a mise en scène de Véronique Mounib. elle a pris de nombreux rôles. Depuis ses études en Hypokhâgne et Khâgne BL, elle s’adonne à l’écriture de nouvelles. « Ah t’es là » est sa première écriture théâtrale.